Brochette d'ouvriers et de cyclos, après quelques délicieux thés partagés.
Alors que Virgile est encore dans ses rêves de chaînes maléfiques, de pédaliers géants et de moyeux ensorcelés, je m'apprète à préparer le ptit dej.
Impossible de se perdre en Jordanie. En simplifiant, le pays compte trois routes sur l'axe Nord-Sud (Amman-Aqaba) :
- la Dead Sea Highway, aux jolis paysages, bordées d'assez peu de villages, et peu roulante,
- la King's Road, qui serpente dans les montagnes, fourmille de petits villages,
- et la Desert Highway, le moyen le plus rapide et le plus moche de relier les deux villes.
Avant Aqaba.
Une oasis, sur la route avant Aqaba. Le pays manque d'eau, il n'est alimenté en eau potable que par le Jourdain au Nord. Un projet de barrage monté conjointement avec la Syrie devrait réduire le déficit, mais pas question de trouver de l'eau potable au robinet à chaque détour de virage. Donc on prend de l'eau minérale, facturée entre 0,3 et 1 JD (entre 0,4 et 1,2 euros) la bouteille.